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Une vieille salle de classe encombrée d’objets épars et incongrus. La cloche sonne, un professeur apparaît et intime les spectateurs à prendre leurs manuels : la classe commence. Brisant peu à peu les consignes et les règlements propres à l’environnement scolaire, la performance se déploie et initie le spectateur au phénomène de la «jeune-fillisation» du monde, à partir d’une sorte de lecture dirigée du manuel, inspiré des Premiers matériaux pour une théorie de la Jeune-Fille du collectif Tiqqun. Poésie sonore, leçons d’un singulier professeur de ballet, chansons, sculptures, musique d’un quatuor à cordes viennent participer au portrait éclaté et symbolique de la Jeune-Fille que nous propose le Bureau de l’APA et ses collaborateurs issus des différentes sphères de l’art. Un audacieux bricolage indiscipliné.
La Jeune-Fille et la mort a été créé à Québec en 2010 et repris en 2012 au Mois Multi 13 et à l’Espace Libre (Montréal) puis en 2013 au Festival TransAmériques (Montréal).
{EXTRAITS DES MÉDIAS}